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Évasion architecturale à New York

Souce : PxHere

New York : une destination à ne pas manquer

Envie de voyage ? Envie de découverte ? Passionnés d’histoire et de culture, la ville new-yorkaise renferme mille récits palpitants qui se reflètent par exemple à travers la multitude de styles d’architecture dans ses rues. S’il s’agit alors de préparer son séjour pour un voyage culturel à New York, il faut évidemment commencer par procéder à une demande en ligne d’une autorisation de voyage ESTA. L’assistance en ligne accompagne convenablement le client dans les diverses démarches à suivre : pour pouvoir y accéder, il faut se munir de son passeport, d’une adresse mail et de sa carte de paiement afin de régulariser à l’instant tous les frais, y compris le transfert du dossier de demande. De nombreux cas fréquents déjà rencontrés ont fait l’objet d’une étude particulière afin de rendre pleinement satisfaction aux passagers : parmi eux par exemple les modalités des voyages groupés. En quatre étapes distinctes, le voyage tant rêvé devient réalité : remplir le formulaire, veiller à la conformité des données enregistrées, payer tous les frais requis et enfin recevoir aussitôt l’autorisation ESTA, dans un délai maximal de 72 heures, via l’adresse mail.

New York : une ville sous influence coloniale

L’histoire ne s’estompe jamais, des traces demeurent et témoignent de l’existence archaïque de la ville new-yorkaise. En tant qu’ancienne colonie britannique au XVIIe siècle, il en va alors de soi qu’au moins un monument reflète le style anglais : construction à base de brique et de pierre, où dominent en général les couleurs rouge, brune ou blanche. À Manhattan, le St Paul’s chapel est la plus vieille église de la ville : elle date de 1766. À partir du XVIIIe siècle, le style néo-gothique est apparu, agrémenté par l’utilisation de grès, de calcaire ou de terre cuite et par l’ajout de faux contreforts. Le St Patrick’s cathedral, plus grande église catholique américaine, illustre parfaitement ce style avec ses ornements fascinants en façade : la construction de cet admirable édifice, attribuée à James Renwick, a été totalement achevée en 1888. Autre référence du style néo-gothique : le Woolworth Building, bâti par l’architecte américain Cass Gilbert en 1913. Au début du XIXe siècle, l’architecture tend vers un style plus parisien, dans une période nommée Beaux-Arts, tel que le confirme le New York Public Library, classé parmi les cinq plus vastes bibliothèques du monde.

New York : une modernisation rapide

Rapidement, dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’architecture locale se retrouve totalement bouleversée : l’accroissement démographique s’accélère et la révolution industrielle a aussi apporté sa part. Des nouveaux matériaux émergent, de nouvelles techniques de construction sont adoptées. Le métal, notamment l’acier, est de plus en plus mis en valeur : la révolution industrielle a conscientisé la population sur les avantages de l’acier tant sur le plan technique qu’économique. Ainsi, James Bogardus fait partie des illustres architectes qui ont introduit les cast-iron buildings. Le quartier SoHo est devenu un site historique où la fonte, ornée de larges baies vitrées, a été le principal mode de construction des façades : un style plus classique qui va être promptement adoptée par d’autres milliers de bâtiments dans le Big Apple. Au XXe siècle, le style International s’installe, simple mais avec un design plus moderne : aluminium, marbre et verre sont les éléments les plus visibles sur les façades comme le représente le siège de l’ONU.

New-York : la ville des gratte-ciel

C’est certain, l’idée du gratte-ciel est née en Amérique avec les grands progrès de la science qui ont permis la création des ascenseurs et l’essor de la sidérurgie. Théoriquement, un gratte-ciel se caractérise par une forme verticale mince et haute, en d’autres termes un immeuble de plusieurs centaines d’étages, qui grimpe à la hauteur du ciel. Ce concept a été fâcheusement critiqué par une grande multitude d’architectes américains, puisqu’il affecte quelques règles de vie élémentaires :

  • des questions de projection de lumière : les routes entourées de plusieurs gratte-ciel se retrouvent à longueur de journée dans l’ombre ;
  • des risques plus élevés aux incendies ;
  • des rues devenues plus étroites, ce qui entrave la circulation ;
  • etc.

Cette problématique a été résolue en 1916 par le Zoning Law. Les gratte-ciel sont absolument devenus les incontournables à New York : le Chrysler Building, l’Empire State Building, le Rockefeller Center sont des exemples très connus.

Au milieu du XXe siècle, tous les styles sont confondus sur une même construction. Ainsi, des formes, des hauteurs et des allures toutes aussi modernes les unes que les autres s’érigent ici et là : des constructions qui vont loger les bons plans et astuces sur place. Par la suite, les matériaux utilisés sont de plus en plus luxueux. L’association notamment du verre à plusieurs autres éléments procurent aux bâtiments new-yorkais un style qui tend vers le style contemporain.

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