Au début du siècle dernier, ce pont en dos d'âne n'était fait que d'un bois solide comme de l'acier. Dès 1911, il fut reconstruit, mais avec un nouveau matériau : des pierres. Ce n'est pas qu'il s'en dégage une impression particulièrement romantique ou même historique, mais on ne pourra que s'étonner d'apercevoir une telle structure à balustres et à réverbères, totalement éclipsée par une autoroute à quatre voies. Et pourquoi pas initier une réflexion sur les conséquences de l'urbanisation.