Hong Kong aéroport de l’année 2011

Que le grand vainqueur se présente sur l’estrade ! Skytrax n’a pas attendu les prochains Jeux olympiques, ni même le coup d’envoi du festival de Cannes 2011, pour décerner à l’aéroport d’Hong Kong la récompense suprême : le titre honorifique de meilleur aéroport de l’année. Pour l’honneur, donc, puisqu’il n’y a rien à gagner.

Hong Kong, son aéroport

Du talent à revendre

Le personnel de cet aéroport international situé à Hong Kong peut s’en féliciter. Son travail de longue haleine a porté ses fruits, pour la huitième fois. Skytrax, après consultation de quelques 11 millions de personnes à travers le globe, a une nouvelle fois donné gagnant un aéroport qui truste le podium depuis 10 années consécutives. C’est dire le niveau des services proposés aux millions de voyageurs annuels, qui ont pour la plupart l’impression de transiter dans une autre dimension, à l’heure d’enregistrer leurs bagages ou de prendre un café en attendant leur vol.

La qualité de l'enregistrement...

L’Europe : bien, mais pas top

Sur les 240 aéroports passés au crible par Skytrax, les premiers représentants européens (Munich, Amsterdam et Zurich) terminent au pied d’un podium à 100% asiatique. Derrière l’indétrônable Hong Kong, on retrouve deux tigres d’Orient : la farouche Singapour et une capitale non moins téméraire, Séoul. Trois villes qui ont tout fait pour moderniser leurs infrastructures aéroportuaires, du plus simple tapis d’enregistrement aux tunnels d’embarquement.

Dans deux mois, la balle changera de camp, pour le meilleur et pour le pire. Ce sera l’heure de noter les compagnies aériennes ! Alors, traditionnel ou low-cost ?

Rome : une cure anti-alcool

A Rome, l’été devrait être moins chaud qu’à l’accoutumée. Les jeunes qui avaient pour habitude de passer leurs nuits sur le Campo dei  Fiori, place du centre-ville, sont désormais contraints de revoir leurs plans.

Un joli marché aux fleurs

Un verre, bonjour les dégâts

Le jour, Campo dei Fiori est le théâtre d’un magnifique marché aux fleurs. Les touristes y affluent sans discontinuer, bien loin de s’imaginer que la nuit tombée, les terrasses dansantes et les charmants petits étals des commerçants locaux laissent place à une ambiance autrement plus folle. En Espagne, on appelle ce phénomène le botellón. Les jeunes profitent d’un lieu désertée par le grand public, pour arroser leurs soirées jusqu’au bout de nuits qui tournent souvent à la catastrophe alcoolisée.

De sacrés restes

Regarder derrière soi

La nouvelle génération s’en ronge déjà les ongles. Maire de la ville, Gianni Alemanno a tenu à remettre les pendules à l’heure. Depuis le 1er avril, tous les quartiers dits touristiques sont sous le coup d’une réglementation à faire bondir ceux qui en sont à l’origine : la consommation d’alcool est tout bonnement proscrite, chaque soir jusqu’au 30 juin, de 23 heures à 6 heures du matin. Ceci en réponse à l’agression d’un jeune anglais qui, un peu trop éméché, s’est livré à une partie d’exhibitionnisme en pleine rue. Nul n’étant censé ignorer la loi, les contrevenants s’exposent à des amendes plutôt salées qui, selon les autorités, en dissuaderont une majorité. Assez pour permettre aux Romains de passer un été tranquille.

Préparez vite votre séjour à Rome ! C’est le moment de saisir les dernières offres pour l’été. Bonne visite, avec comme compagnon notre guide de Rome.

Le Japon à nouveau accessible aux voyages

A la suite des dernières évolutions de la situation dans le pays, le CETO, Centre d’étude des tours-opérateurs, a annoncé la réouverture aux voyages au Japon à partir du samedi 30 avril. Les circuits seront toutefois aménagés afin d’éviter les préfectures de Miyagi, Fukushima, Ibaraki et Tochigi, les plus touchées par le terrible séisme du 11 mars dernier.
 
L’association précise néanmoins que « ces mesures pourront être modifiées à tout moment en fonction de l’évolution de la situation et dans un souci de l’intérêt de la clientèle, des tours-opérateurs et des agents de voyages. »
 
Malheureusement pour le pays, dont l’économie a déjà été sérieusement ébranlée à la suite du tremblement de terre, du tsunami puis de la menace nucléaire et de leurs conséquences directes et indirectes, cela ne suffira pas à sauver la très haute saison, traditionnellement concentrée sur avril et ses cerisiers en fleurs.
 paysage-japonais

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Le tourisme brésilien ne s’est jamais aussi bien porté

Le Brésil est à la mode, si l’on en croit les chiffres publiés par Embratur, l’Institut du Tourisme brésilien. Plus de cinq millions de touristes étrangers ont visité le pays en 2010, soit une hausse de 7,5% par rapport à 2009. San Paolo reste la principale ville d’entrée, essentiellement pour les affaires, quand Rio de Janeiro et Salvador de Bahia attirent par leurs plages et leur ambiance.

Corcovado-Rio-de-janeiro

Mario Moyses, président d’Embratur, considère ce résultat comme « très positif, si l’on tient compte de la forte valorisation du real, qui a fait du Brésil une destination plus chère pour les touristes étrangers ». Au mois de février 2010, le Brésil a enregistré des « recettes touristiques internationales de 511 millions de dollars, soit une augmentation de 18% par rapport au mois de février 2009, ce qui correspond au montant le plus élevé pour un mois de février depuis 63 ans. » Un tourisme qui est en effet en constante augmentation depuis 1947 et qui constitue donc un sérieux moteur pour l’économie du pays.

Si les Argentins restent la principale nationalité à visiter le Brésil, les touristes américains, uruguayens, chiliens et paraguayens ont été nombreux également. Enfin, les européens ne sont pas totalement à la traîne, puisqu’ils totalisent 22% des entrées sur le territoire.

Si vous aussi vous souhaitez profiter des charmes et de l’ensoleillement brésiliens, n’hésitez pas à consulter notre comparateur pour trouver votre vol.

Où manger le meilleur cassoulet ?

Les plats traditionnels de la gastronomie française régalent tant les estomacs qu’ils sont souvent imités, mais jamais égalés. Où déguster nos mets avec authenticité ? Pour apprécier un bon cassoulet dans le Sud-Ouest, suivez « La route gourmande du Cassoulet »…

Cassoulet du Sud-Ouest

L’association Tables & Auberges de France, auteur du guide éponyme, édite pour la troisième année consécutive son guide thématique, « Le Pays du Cassoulet ». Cinquante-sept adresses de restaurants sont réunis pour déguster ce plat gastronomique du Sud-Ouest dans les règles de l’art.

Les tables sont sélectionnées sur des critères de qualité et d’authenticité. Pour être membre du guide, le restaurateur doit cuisiner son cassoulet avec des produits locaux et de manière artisanale. Le plat doit également figurer sur la carte tout au long de l’année, et impérativement sous la mention « Cassoulet ».

L’origine de la recette aux haricots est discutée : Castelnaudary ? Toulouse ? Carcassone ? Tables & Auberges de France ne se fie pas aux conventions et élargit le territoire à l’Aude, au Lot, au Gers et Hautes-Pyrénées. Certains parlent même de cassoulet périgourdin…

Direction le Sud-Ouest : à table, et bon appétit !

Le message d’espoir des guides japonais

Au Japon, les guides touristiques gardent le sourire et se mobilisent pour faire revenir les voyageurs. Sur YouTube, des vidéos en plusieurs langues rappellent aux touristes que « Japan is beautiful ».

Les cerisiers en fleur au Japon

Un fond musical rythmé et joyeux, un décor de cerisiers fleuris et des jeunes japonaises tout sourire, c’est le cocktail qui défile dans l’appel vidéo des guides touristiques japonais. Ils lancent un message d’espoir aux touristes du monde entier, en espérant les revoir rapidement dans leur pays.

Des pancartes affichent des messages simples mais touchant, lorsque l’on sait la catastrophe que traverse le pays : « Tokyo is still alive, and we’re having fun », « we love you », « we miss you », « come and see us », etc.

D’autres vidéos circulent sur la toile, comme celle de Tomo, guide francophone qui a choisi l’humour. « Pourquoi il ne faut pas aller au Japon ? Parce qu’il peut y voir la coupure de courant et les trains perturbés. Oui, mais au Japon, il n’y a pas de grèves (…) la grève de trains, c’est votre grande tradition ! »

De son côté, le ministère des affaires étrangères français a annoncé vendredi 15 avril que les voyages au Japon ne sont plus déconseillés, mis à part dans la région de la centrale nucléaire de Fukushima, au nord-est du pays.

Low cost : où est l’arnaque ?

Appeler Julien Courbet ? Posez donc ce téléphone. Certes, les compagnies low-cost sont connues pour les frais supplémentaires qu’elles infligent à la pelle, mais selon une étude sérieuse menée courant 2010, elles restent de loin les plus avantageuses, financièrement parlant.

Un autre low-cost

Same player shoot again

Depuis des années, c’est la même ritournelle. L’émergence des compagnies à bas coût a mis du plomb dans l’aile des grandes compagnies aériennes. En moyenne, choisir un vol chez Easyjet, RyanAir ou encore Aer Lingus, c’est économiser plus d’un tiers du tarif autrement consenti chez Air France, Lufthansa, British Airways et compagnie. Il paraît même qu’on frôle les 40% de différence en réservant au moins deux mois à l’avance.

Place aux jeunes

Le concept du low-cost a beau n’en être plus à son coup d’essai, les vieux de la vieille gardent l’avantage en termes d’expérience. Air France a déjà transporté près de 100 millions de passagers depuis sa fondation. Pourtant, les raisons sont nombreuses pour se tourner vers leurs ceux dont on s’avance à dire qu’ils seront les successeurs. Les appareils des compagnies low-cost, de plus en plus prisés par les voyageurs (les temps sont durs sur la planète finances), s’envolent désormais par-delà les frontières, lors de vols internationaux. A leur bord, la plupart des passagers auront en moyenne payé 41% moins cher leur billet. Pour les trajets locaux, le gain est deux fois moindres : 20% environ.

Le fameux Airbus de RyanAir

Un sans-faute ?

Pas tout à fait. On les voit venir, ces site Internet de réservation, truffés de boutons radios, cases cochées par défaut et autres options à n’en plus savoir où donner de la tête. Assurances voyage, taxes sur les paiements par carte bleue, frais supplémentaires engendrés par des bagages en soute… chez les low-cost, les extras constituent le revers de la médaille : ils alourdissent la facture d’environ 37% (jusqu’à 45% en Italie, bonnet d’âne de l’Union européenne). Un chiffre au contraire négligeable pour les compagnies standard (4%).

Un choix cornélien, dites-vous ? Notre comparateur de vols est là pour un petit coup de main !