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995 mètres de longueur, 2 962 mètres d’altitude, 0 harnais : nouveau record du monde pour le funambule Suisse Freddy Nock.

En visite à Nice, vous cherchez un endroit pour manger de bonnes glaces ? Découvrez Fenocchio, un glacier artisanal où des parfums improbables, mais délicieux, se retrouvent dans votre cornet de glace : tomate-basilic, riz au lait, olive ou yaourt ?

Fenocchio est considéré par beaucoup comme le meilleur glacier de Nice. Quiconque passe par la ville azuréenne se doit de faire un tour par la place Rossetti, au cœur du Vieux-Nice, ne serait-ce que pour admirer la large collection de saveurs. Les nombreux parfums de glace de Fenocchio impressionnent tant par leur diversité que leur originalité.

Face à cet océan de glaces, vous et vos papilles hésiterez sans doute entre goûter à des parfums insolites ou craquer simplement pour des saveurs classiques mais délicieusement préparées… Car l’atout de Fenocchio réside dans la fabrication artisanale de ses glaces.

Mais pour quelle saveur allez-vous donc succomber ?

Au rayon floral, jasmin, coquelicot, lavande ou violette feront frémir, non pas vos narines, mais bien vos papilles. Si vous penchez plus pour les plantes et herbes, à vous les parfums thym, romarin, verveine ou encore cactus. Côté fruits, outre les classiques fraise, framboise, passion ou citron, vous pourrez miser sur l’originalité avec les saveurs figue, lychees, rhubarbe ou, mieux : tomate-basilic et avocat.

Pour mettre quelques notes alcoolisées dans votre cornet de glace, il faudra opter pour les sorbets bière et Pina Colada ou les glaces Bailey’s et Amaretto. Et si, à l’inverse, vous retombiez simplement en enfance avec les parfums Dragibus, chewing-gum et fraise Tagada ?

Il vous restera toujours la possibilité de vous mettre aux couleurs locales : tourte aux blettes, olive ou fleur d’oranger ? On vous l’accorde, le choix s’annonce rude (mais savoureux) !

Fenocchio : 2 place Rossetti, 06300 Nice.

Alors que la maison centenaire fondée par l’autrichien Antoine Rumpelmayer s’apprête à ouvrir deux autres salons au cœur de Paris, revenons sur ce qui fait encore et toujours le succès d’Angelina...

Rue de Rivoli, 16h. Le touriste le plus ingénu ne saurait manquer l’entrée d’Angelina, signalée par une file de plusieurs mètres d’où émerge un sabir continu d’anglais, de japonais, d’espagnol – et même de français. Pourquoi tant d’impatience ?

La vitrine des pâtisseries à emporter déborde de délicieuses pâtisseries (macarons, macalons, éclairs à la passion et tartelettes côtoient des confitures de première classe), mais avancez en passant outre la basse salle, relativement banale, pour vous installer au premier et commander un Africain et/ou un Mont Blanc.

Le premier est un chocolat chaud très épais, chaud, onctueux, légèrement épicé, qui suffira amplement à la plupart d’entre nous. Les autres s’attaqueront ensuite au Mont Blanc, autre spécialité de la maison : crème de marrons, meringue et crème chantilly…
L’esprit embrumé, repu, vous voilà rassasié pour deux jours mais avec la satisfaction du devoir accompli. Le mystère de la rue de Rivoli est résolu.

Après avoir colonisé le château de Versailles et le Trianon, la maison parisienne conquiert le Jardin d’Acclimatation et s’apprête à ouvrir deux nouveaux salons dans le Marais et les jardins du Luxembourg.

Angelina : 226 rue de Rivoli, 75001 Paris – 01 79 97 32 76
Ouvert tous les jours de 9h à 19h.

Quelques milliers de convives tout de blanc vêtus et rassemblés pour un repas, c’est le concept du fameux Dîner en Blanc parisien. Dans quelques jours, le Dîner en Blanc s’exportera à New-York, dans un lieu encore tenu secret…

Le Dîner en Blanc de Québec, le 18 août 2011

Ce jeudi 25 août 2011, 1000 New-Yorkais se retrouveront le temps d’un dîner où la règle maîtresse sera d’être entièrement habillé en blanc. C’est la première fois que le célèbre Dîner en Blanc prendra ses quartiers dans la Big Apple. Mais déjà l’événement suscite l’engouement, New-York étant très friande de ce type de manifestations.

Le concept du Dîner en Blanc a en fait traversé l’Atlantique il y a trois ans en étant organisé à Montréal. Cette année l’expérience a été étendue à la ville de Québec, le 18 août dernier, puis le sera à New-York cette semaine. Mais point de vue organisation, c’est beaucoup plus compliqué aux États-Unis qu’en France. A New-York, il faut obtenir tout un tas d’autorisations pour investir les lieux de la fête.

Pique-nique de luxe

Quoi qu’il en soit, le dit lieu sera connu des invités seulement 30 minutes à l’avance. En plus de leur repas, ceux-ci devront s’équiper de tables pliantes, de chaises blanches et de nappes. Mais attention, des nappes blanches et en tissu. Quand au dîner, il doit être gastronomique : pique-nique sauvage mais pique-nique chic !

Si Dublin est sur votre route, ne manquez pas d’aller faire un tour au Porterhouse, un pub qui vous sert ses propres bières grâce à son activité de brasserie. L’ambiance et la convivialité sont au rendez-vous.

Le Porterhouse n’est pas un simple pub, ce n’est d’ailleurs pas un lieu unique. The Porterhouse Brewing Company, de son nom complet, est une brasserie irlandaise qui vous fait goûter à ses bières dans ses différents pubs. A Dublin, celui que vous trouverez le plus facilement est le PorterHouse Temple Bar, le fameux quartier où sont concentrés de nombreux pubs.

Pour découvrir ce pub à Dublin, vous pourrez également faire un tour au Porterhouse Central du côté de Trinity College, l’université situé au centre ville, ou au Porterhouse de Glasnevin, sur la route qui mène au Botanic Gardens. Vous aurez le choix entre neuf bières maison comme la Chiller, la Oyster, la Plain ou encore la Brainblasta.

Derrière le bar, de hautes étagères de bouteilles s’élèvent. Dans le pub, le mobilier en bois rend le lieu très chaleureux, sans parler de l’ambiance festive à l’irlandaise. A cela ajoutons que comme tout bon pub irlandais qui se respecte, le Porterhouse propose assez régulièrement des lives musicaux. Au Porterhouse de Temple Bar, les musiciens prennent place au centre entouré d’un public installé sur les trois étages du bar. En peu de temps, l’animation est au rendez-vous à l’image des concerts de Woodsey, un musicien qui en a étonné plus d’un avec sa seule guitare.

Probablement la meilleure pâtisserie japonaise de Paris : les passionnés de l’Asie comme les fins gourmets se doivent d’ajouter Toraya à leur carnet d’adresse !

Les traditions culinaires japonaises exigent de chaque plat qu’il soit à la fois savoureux, beau et bon pour la santé. Fournisseurs de pâtisseries japonaises à la Cour Impériale depuis le 16e siècle, Toraya ne déroge pas à la règle et propose des desserts uniques dans Paris.

Spécialité de Toraya, les wagashi sont de petits bijoux fabriqués à base d’azuki, d’agar-agar ou de matcha, si fins et délicats que l’on hésite à les manger… mais si petits qu’il suffira d’une bouchée pour en venir à bout. La carte propose également une grande variété de thés  – matcha fouetté, genmai-cha, soba-cha, sencha – préparés dans les règles de l’art.

Le déjeuner est l’occasion de gouter une cuisine japonaise de très bonne qualité, légèrement différente de celle à laquelle nous ont habitués la plupart des restaurants japonais parisiens.

La qualité à un prix, somme toute peu excessif : comptez entre 20 et 30€ pour le déjeuner, 5€ pour un wagashi et 7,60€ pour la spécialité de la maison, le chocolat chaud au thé vert matcha.

Toraya : 10 Rue St-Florentin, 75001 Paris – 01 42 60 13 00
Ouvert tous les jours de 10h30 à 19h, sauf dimanche et fêtes.